Il est passé des tables de fêtes aux tables du monde entier : le saumon est l’un des poissons les plus consommés. Et il est tout autant plébiscité par nous, consommateurs français. Normal il est riche en oméga-3, protéines, vitamines et minéraux. Mais quel saumon fumé choisir ? Et comment reconnaître un saumon fumé de qualité ? Séance de repêchage avec ce petit cours de rattrapage.
- Toutes les natures du saumon fumé
- Et le saumon français, dans tout ça ?
- La truite, ça change du saumon
Toutes les natures du saumon fumé
Sauvages ou d’élevage, fumés au bois de hêtre, venus des mers d’Écosse ou de Norvège, bio, ou Label Rouge… tous les saumons ne se ressemblent pas.
Le saumon fumé norvégien
Il a une chair très tendre et onctueuse, aux saveurs douces et fondantes. Ses notes iodées et marines lui donnent un rondeur particulière.
Le saumon fumé d’Écosse
Il présente une chair orangée et plus fine que son alter ego norvégien. Son goût est homogène.
Le saumon sauvage
Il affiche une chair plus foncée et un goût plus prononcé. Plus riche en protéines et en oméga-3 que le saumon d’élevage, il serait moins gras que le saumon d’élevage, et surtout moins pollué par les métaux lourds.
Le saumon bio
Il est issu d’un monde de production respectueux de l’environnement et du bien-être animal. Elevé dans des bassins en pleine mer, il subit moins de traitements médicamenteux que le saumon classique
Et le saumon fumé français, dans tout ça ?
Le saumon fumé français est à l’honneur chez chronodrive. Chez Delpeyrat, il est élevé dans la Manche et issu d’une filière 100% engagée (élevé et fumé en Normandie, respect du milieu marin, soutien à l’emploi local).
La truite, ça change du saumon
Pour changer du saumon fumé (même si on en mange qu’une fois par semaine comme il est recommandé), il y a la truite ! Moins grasse et de ce fait, naturellement moins polluée, la truite fumée se prête à toutes les recettes. Petit bémol : elle est moins riche en oméga-3.
